Adonis Kyrou

Premier film de la série « Cinéastes de notre temps », un portrait de Luis Buñuel en deux parties : la première retrace la vie du cinéaste surréaliste, la seconde est un entretien.

A man developes an obsession with a wig.

A man developes an obsession with a wig.

One of filmmaker and expatriate writer Adonis Kyrou's best-known quotes translates roughly as "I urge you: Learn to look at 'bad' films, they are so often sublime." The same could be said of Kyrou's own directorial work in Greece before the advent of the 1967 dictatorship forced him to flee to Paris. This confused mess, the first cinematic attempt at portraying the Greek resistance in WWII, caused quite a stink upon release, as much for its surprising style (recalling that of Bertolt Brecht) as for its subject matter. Reaction to its screening as part of the 1966 Cannes Film Festival's International Critic's Week was heated and divisive, proving Kyrou's later statement by rising above its own inherent silliness to achieve a sort of rarefied critical status. It's bad drama that nonetheless succeeds by dint of audacity more than quality (a comment which could apply equally to the work of many exploitation directors like Jean Rollin whom Kyrou later so lovingly profiled).

From the marine cemetery which overlooks the town, a young man goes down towards the port. He successively meets three young girls with whom he becomes acquainted, but they leave him one by one... Will the last one give in to him? At dawn, he goes back the other way...

From the marine cemetery which overlooks the town, a young man goes down towards the port. He successively meets three young girls with whom he becomes acquainted, but they leave him one by one... Will the last one give in to him? At dawn, he goes back the other way...

One of filmmaker and expatriate writer Adonis Kyrou's best-known quotes translates roughly as "I urge you: Learn to look at 'bad' films, they are so often sublime." The same could be said of Kyrou's own directorial work in Greece before the advent of the 1967 dictatorship forced him to flee to Paris. This confused mess, the first cinematic attempt at portraying the Greek resistance in WWII, caused quite a stink upon release, as much for its surprising style (recalling that of Bertolt Brecht) as for its subject matter. Reaction to its screening as part of the 1966 Cannes Film Festival's International Critic's Week was heated and divisive, proving Kyrou's later statement by rising above its own inherent silliness to achieve a sort of rarefied critical status. It's bad drama that nonetheless succeeds by dint of audacity more than quality (a comment which could apply equally to the work of many exploitation directors like Jean Rollin whom Kyrou later so lovingly profiled).

A short documentary film about the eponymous work of architecture by the postman Ferdinand Cheval. Text by Cheval, spoken by Gaston Modot. This is the first film about Cheval's creation.

How to make the most of a defeat. How to make money from Napoleon's fiasco at Waterloo.

How to make the most of a defeat. How to make money from Napoleon's fiasco at Waterloo.

Denis Lange, ingénieur spécialisé dans la construction d'abris atomiques, assiste avec un certain détachement aux dernières heures de l'humanité. La catastrophe nucléaire est inévitable. Pendant la dernière vérification d'un abri, la guerre atomique éclate. L'ingénieur se retrouve prisonnier d'un monde souterrain de glace et de nuit. Lange, qui est resté en hibernation pendant plus d'un siècle, est réanimé par des robots perfectionnés : des androïdes. Il se trouve dans Sial IV, cité souterraine dirigée par le grand maître des robots : Machiavel. Celui-ci et quelques humains, dirigent les androïdes et veillent à ce que le bonheur demeure un état permanent. En effet, il n'y a plus de guerre. Les humains se sont déchargés de toute responsabilité sur les androïdes et vivent dans un inquiétant farniente

Denis Lange, ingénieur spécialisé dans la construction d'abris atomiques, assiste avec un certain détachement aux dernières heures de l'humanité. La catastrophe nucléaire est inévitable. Pendant la dernière vérification d'un abri, la guerre atomique éclate. L'ingénieur se retrouve prisonnier d'un monde souterrain de glace et de nuit. Lange, qui est resté en hibernation pendant plus d'un siècle, est réanimé par des robots perfectionnés : des androïdes. Il se trouve dans Sial IV, cité souterraine dirigée par le grand maître des robots : Machiavel. Celui-ci et quelques humains, dirigent les androïdes et veillent à ce que le bonheur demeure un état permanent. En effet, il n'y a plus de guerre. Les humains se sont déchargés de toute responsabilité sur les androïdes et vivent dans un inquiétant farniente

Denis Lange, ingénieur spécialisé dans la construction d'abris atomiques, assiste avec un certain détachement aux dernières heures de l'humanité. La catastrophe nucléaire est inévitable. Pendant la dernière vérification d'un abri, la guerre atomique éclate. L'ingénieur se retrouve prisonnier d'un monde souterrain de glace et de nuit. Lange, qui est resté en hibernation pendant plus d'un siècle, est réanimé par des robots perfectionnés : des androïdes. Il se trouve dans Sial IV, cité souterraine dirigée par le grand maître des robots : Machiavel. Celui-ci et quelques humains, dirigent les androïdes et veillent à ce que le bonheur demeure un état permanent. En effet, il n'y a plus de guerre. Les humains se sont déchargés de toute responsabilité sur les androïdes et vivent dans un inquiétant farniente