Papa John Creach

Norah Larkin est une jolie opératrice de téléphone qui attend avec impatience le retour de John, un soldat engagé en outre-mer avec lequel elle doit se marier. Le soir de son anniversaire, elle reçoit une lettre de John lui apprenant qu'il ne pourra pas l'épouser. En larmes, elle répond à un appel téléphonique de Harry Prebble, un collègue de travail, qui la confond avec sa sœur et l'invite à dîner. Déprimée, Norah accepte le rendez-vous au Blue Gardenia. Harry, qui aime les jolies femmes, ne se laisse pas démonter par son erreur et dîne avec Norah. Il saoule la jeune femme avant de l'emmener à son appartement où il tente d'abuser d'elle. Norah résiste et le frappe avec un tisonnier avant de s'enfuir, laissant derrière elle ses chaussures et un gardénia bleu qu'Harry lui avait offert. Le lendemain matin, Norah est incapable de se souvenir de ce qui s'est produit.

En Louisiane, un homme prend la défense d'un jeune Noir menacé par le fils d'un grand propriétaire. La tension monte, un shérif tente d'apaiser la haine entre les habitants du Bayou et les notables de la ville.

Au crépuscule de sa vie, Céleste Beaumont, une pianiste de jazz réfugiée à New York, fait le bilan de son existence. Elle rédige alors son journal, qu'elle envoie à son fils, un artiste-peintre dont elle s'est séparée depuis longtemps. L'arrivée de cet «album intime» bouleverse Blaudelle et son fils Antoine, âgé de 10 ans. C'est par les yeux de ce dernier que nous vient le récit de la vie de Céleste, depuis son adolescence en 1922 à Val D'Amour jusqu'à la réalisation de ses ambitions. (site ONF) Adaptation du roman de Jacques Savoie. Céleste Beaumont est une pianiste du cinéma muet qui traverse un siècle d'intolérance. On lui avait arraché son fils. Son petit-fils découvre son existence et raconte son histoire. «Mon intention avec Les portes tournantes était de faire un film où les personnages ne parleraient pratiquement pas, où tout se passerait dans le regard, les gestes, les silences, un film qui retrouverait la pureté du cinéma muet.» (F. Mankiewicz, 1988)

The Flip Wilson Show is an hour long variety show that aired in the U.S. on NBC from September 17, 1970 to June 27, 1974. The show starred American comedian Flip Wilson; the program was one of the first American television programs starring a black person in the title role to become highly successful with a white audience. Specifically, it was the first successful network variety series starring an African American. During its first two seasons, its Nielsen ratings made it the nation's second most watched show. The show consisted of many skits over an hour. It also broke new ground in American television by using a 'Theatre-in-the-Round' stage format, with the audience seated on all sides of a circular performance area. Wilson was most famous for creating the role of Geraldine Jones, a sassy, modern woman who had a boyfriend named Killer. Flip also created the role of Reverend Leroy, who was the minister of the Church of What's Happening Now!. New parishioners were wary of coming to the church as it was hinted that Reverend Leroy was a con artist. Wilson popularized such catchphrases as "What you see is what you get", and "The devil made me do it!".