Jonathan Carrasco

Santiago Mitre co-directs his first movement following The Student together with choreographer Onofri Barbato. Although it would have been more accurate to say “his first film-story-adventure-movie-great movie following The Student”, the word movement fits perfectly in Los posibles, the most overwhelmingly kinetic work Argentine cinema has delivered in many, many years. The film deals with the adaptation of a dance show directed by Onofri together with a group of teenagers who came to Casa La Salle, a center of social integration located in González Catán, trying to find some refuge from hardship. Already entitled Los posibles, the piece opened in the La Plata Tacec and was later staged in the AB Hall of the San Martín Cultural Center. Now, it dazzles audiences out of a film screen, with extraordinary muscles and a huge heart: Los posibles is a rhapsody of roughen bodies and torn emotions. Precise and exciting, it’s our own delayed, necessary, and incandescent West Side Story.

Jack Putnam est photographe professionnel. Alors qu'il est à la recherche de quelques paysages, il fait la connaissance de Stevie Fields, un enfant de la région qui s'impose auprès de Jack et lui fait découvrir quelques paysages fort sympathiques. Soudain, une espèce de nuage comme arrivé de nulle part déclenche une tempête puis disparaît aussi soudainement qu'il est arrivé. Stevie découvre un rocher bleue, qu'il pense être une météorite. Il l'emmène avec lui.

Basé sur l'histoire vraie d'un tapeur de caoutchouc brésilien qui mène son peuple en protestation contre le gouvernement et les promoteurs, qui veulent couper leur partie de la forêt tropicale pour une nouvelle route et des terres de ranch.

Un enfant en difficulté libère par inadvertance un génie, qui doit lui accorder de trois vœux qu'il demande.