Susumu Iwabuchi

Un groupe de militants révolutionnaires obsédés par le sexe (dont le pseudo de chacun des membres n'est autre qu'un jour de la semaine) tente de voler des armes sur une base américaine. Leur raid vire à la débacle : Mardi, Mercredi et Jeudi sont tués. Lentement, le groupe de survivants réalise qu'il a été trahi par sa propre organisation, et décide de faire régner l'anarchie tant politiquement que sexuellement sur tout ce qui se trouve à leur portée.

Les lycéens Yasuko, Yôichi, Kôichi et Bill s’adonnent aux orgies pour se libérer d’une société corrompue. Encouragée par ses pairs à découvrir comment l’on se sent lorsqu’on est une prostituée, Yasuko se lance dans une véritable quête d’exploration de soi pour atteindre un état de parfaite satiété.

On their way back from the Cannes Film Festival in 1971, filmmakers Wakamatsu Koji and Adachi Masao visited Lebanon to meet Japan's Red Army faction and the Popular Front for the Liberation of Palestine to shoot a newsreel film promoting the Palestinian resistance. Conceived as a ‘declaration of world war’ that implicates us all, the directors capture the everyday banality of military training and preparation exercises for imminent battle.

AKA Serial Killer documents the social upheaval and political oppression that roiled Japan in the 1960s, profiling a nineteen-year-old serial killer Norio Nagayama. An indictment of media sensationalism, the film humanizes the young man by situating his crimes in the larger context of his environment.