Salvador Wood

Un ouvrier cubain émérite meurt broyé par sa machine à fabriquer des bustes mortuaires. Selon ses voeux, on l'enterre avec son livret de travail. Malheureusement, sa veuve, pour recevoir sa pension, est obligée de fournir ce fameux livret. Le neveu du défunt entreprend alors les démarches nécessaires pour le récupérer.

Les critiques de cinéma contemporains considèrent le film épique I Am Cuba comme un chef-d'œuvre moderne. La coproduction cubano-soviétique de 1964 a marqué un tournant dans la collaboration culturelle entre les deux nations. Pourtant, le film n'a jamais trouvé un public de masse et a langui pendant des décennies jusqu'à sa réintroduction en tant que "classique" dans les années 1990. Vicente Ferraz explore l'étrange histoire de ce tour de force cinématographique et sa signification profonde pour ceux qui ont participé à sa création.

À Cuba, sous le régime de Batista. Maria, qui vit à La Havane, sombre dans la honte lorsque l'homme qui l'aime apprend comment elle gagne sa vie. Pedro, un vieux paysan, doit quitter ses terres, qui viennent d'être arbitrairement vendues à la firme United Fruit. Un étudiant est le témoin des brutalités de la police à l'égard des opposants. Et un paysan rejoint la guérilla castriste…

The Castro revolution was just consolidating its power when, in 1961, over 100,000 students were sent from their schools into the countryside to teach the peasants there how to read. Coinciding with the Bay of Pigs invasion, in this docudrama, 15-year-old Mario (Salvador Wood) has come to a tiny village in the Zapata swamps and gradually wins the villagers over to his task. At the same time, he receives an education in the realities of rural life from the hard-working peasants.

The first years of the Cuban Revolution characterized by social transformations and class struggles.