Rokhaya Niang

Le film explore la manière dont l'art et la beauté peuvent rassembler. La réalisatrice Karine Silla pose son regard singulier sur la jeunesse, le féminisme, ainsi que sur les questions d'identité et de transmission. Ainsi, le film fait dialoguer les arts : la danse avec l’École des Sables, la musique avec le rappeur Nix ou la chanteuse Elia, le cinéma avec les étudiants de Kourtrajmé ou les comédiennes Rokhaya Niang et Mama Sané, l’architecture avec Mamy Tall, la littérature avec les écrivaines Ken Bugul et Anne Berest.

The film has been ten years in the making, and over time it has grown to become what the director himself has called an artistic testament. It is simultaneously his most personal and most provocative film. A film about growing older, about losing, about the special moments one remembers, and about the director's own circling around the essence of eroticism.

A small craftsman disappears, his brother, a grocer, searches for him and… to his surprise, he finds a misappropriation of Humanitarian Aid! Someone's lining their pockets, but who? And what is the little craftsman doing in there? Investigation, twists and turns, suspenses, prosecutions and murders follow! But, beyond this form, the substance never ceases to be present, namely: why do those who need it most accept to see a large part of the international donations intended for them disappear?

Aissa a 17 ans, voit son monde basculer lorsque sa mère meurt. Elle quitte le village pour aller s’installer chez son père, un homme qu’elle n’a jamais rencontré et qui a refait sa vie. Face aux difficultés relationnelles avec sa belle-famille, Aissa se réfugie dans sa passion pour le chant…