Lynn Farr

Two smart marketing people resurrect some old films starring cowboy Smoky Callaway and put them on television. The films are a big hit and the star is in demand. Unfortunately no one can find him. When a lookalike sends in a photo, the marketing team hires him to impersonate Callaway. Things get sticky when the real Callaway eventually shows up.

En 1873, le démantèlement des Texas rangers provoque leur remplacement par un corps de police texan corrompu. Steve Lanning, se faisant passer pour un bandit, réussit à infiltrer ce corps de police pour le détruire de l'intérieur...(partition musicale: The Radio Rangers)

While trailing Forest Ranger Charles Carter, who is suspected of permitting lumber man Henry Mitchell to cut restricted timber, Gene fires at a dangerous mountain lion and apparently kills Carter. Actually, Bill Wright, Mitchell's associate, killed Carter because the ranger had discovered tussock moth infestation in the forest, and if the infestation was not reported, the trees would die and have to be cut, thereby profiting Mitchell and Wright. In order to compensate the best he can, Gene sells his sportsman's camp and gives the money to Carter's daughter Helen . En route to Texas, Gene discovers the infestation and is assigned by the Forest Department to supervise the program of spraying the area with DDT from the air. After the first day of spraying, the DDT is blamed by furious stock men for the many animals found dead of poisoning.

Au printemps 1862, alors que la Guerre Civile fait rage, le 304ème Régiment de l’armée de l’Union se morfond ; multipliant les exercices inutiles, rendus inquiets par le manque d’informations sur les évènements et s’ennuyant à mourir à force de ne pas avoir à se battre, les jeunes volontaires n’ont qu’une hâte, partir au front. Pour certains comme Henry Fleming (Audie Murphy), ce sera le baptême du feu ; tout en étant impatient d’en découdre en livrant sa première bataille, lorsque le moment fatidique arrive la peur s’empare de lui. Lors du second assaut des Confédérés dévalant d’une colline avec force cris, le soldat prend ses jambes à son cou et, tournant le dos à l’ennemi, s’enfuit à perdre haleine. Il se cache dans des fourrés et tarde un peu à reprendre ses esprits ; il croise d’interminables colonnes de blessés qui s’éloignent du front et, parmi eux, l’un de ses camarades qui meurt dans ses bras. Il ne s’en met pas moins à envier ses derniers qui ne retourneront pas combattre...