Marcelo Pozzi

Argentina, 1985 est inspiré de l'histoire vraie de Julio Strassera, Luis Moreno Ocampo et de leur jeune équipe juridique de héros improbables, racontant leur bataille façon David contre Goliath dans laquelle, malgré les menaces constantes, ils ont osé poursuivre la plus cruelle des dictatures militaires de l'Argentine, afin de pouvoir rendre justice aux victimes de la junte militaire.

Martín lives in the Argentine countryside. After suffering a violent robbery at his place by a hooded person who threatened his children, he receives the visit of Guzmán, a man who assures him he's able to find the man who robbed him.

A sunny morning in Buenos Aires. All seems quiet, but then an odd race begins: a variety of people are after a backpack. A little army of seekers surprises us at every corner. Suddenly, a lonely bureaucrat (Mapache) is involved in this adventure, and new, mysterious and unknown people start to populate his life, all running around the popular Argentinian city to obtain the backpack which seems to be crucial to his own fate, according to the words of his new accomplice, magician and tarot reader Luminitsia.

Ignacio has the same dream every night. This dream is destroying everything from the inside of his mind: his job, his romance, his personality, his world. Is it a vision, a sickness, or a simple whim?

L'inégalité, l'injustice et l'exigence auxquelles nous expose le monde où l'on vit provoquent du stress et des dépressions chez beaucoup de gens. Certains craquent. « Les Nouveaux Sauvages » est un film sur eux.

Long métrage diffusé en 4 parties. « La Flor » cambriole le cinéma en six épisodes. Chaque épisode correspond à un genre cinématographique. Le premier est une série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire. Le second est un mélodrame musical avec une pointe de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est une mise en abîme du cinéma. Le cinquième revisite un vieux film français. Le sixième parle de femmes captives au 19e siècle. Mon tout forme « La Flor ». Ces six épisodes, ces six genres ont un seul point commun : leurs quatre comédiennes.

Long métrage diffusé en 4 parties. « La Flor » cambriole le cinéma en six épisodes. Chaque épisode correspond à un genre cinématographique. Le premier est une série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire. Le second est un mélodrame musical avec une pointe de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est une mise en abîme du cinéma. Le cinquième revisite un vieux film français. Le sixième parle de femmes captives au 19e siècle. Mon tout forme « La Flor ». Ces six épisodes, ces six genres ont un seul point commun : leurs quatre comédiennes.