Maria Fitzi

When three estranged friends are entrusted to scatter their friend's ashes in the mountains they met 30 years earlier; they must rediscover a past they've turned their back on, and remember what true female solidarity is all about.

A hundred years after the theft from New Zealand of three irreplaceable tribal carvings, two Maori, Rewi and Peter, decide it's time for ancient grievances to be put right. Both men are in Berlin where the carvings are stored in a museum. Plans go awry when a group that Peter has assembled breaks into the museum. Rewi persuades the others to let him put his own, more daring plan into action. Tensions build and international media interest broadens when a sniper's bullet hits Peter.

Berlin, an old apartment building between the S-Bahn and the street. Seventeen people live there. The old photographer Kempinski, shrouded in his memories. Hannelore, dreaming of distant lands, temporarily sharing her apartment with her lovesick niece. Bona, who occasionally drinks a beer with his roommate and teaches French in the kitchen. The two teenage sisters with their newly in love mom. The medieval caretaker couple and the young couple whose daughter Paula would rather sit in the stairwell than go to school. On the face of it, they all have nothing in common apart from their home address. The film tells in microscopically accurate, realistic visual language and on changing levels of the common everyday life of small people.

Eté 1939, Jeanne a 20 ans et épouse l'homme parfait, Louis, un lieutenant d'infanterie. Sans avoir eu le temps de profiter de leurs noces, ce dernier est envoyé au combat mais, capturé par les soldats du Reich, il passe cinq années dans une prison allemande. A son retour à la fin de la guerre, les jeunes mariés font des enfants et s'envolent vers Berlin. Malheureusement, la jeune femme n'est pas comblée par cette vie et rencontre alors Mathias Bennent, un allemand. Folle amoureuse, elle devra faire un choix déterminant entre sa famille parfaite et son indépendance.

Camille, jeune femme peu sûre d’elle, s’occupe de plus en plus de son père Edoardo, sulfureux reporter de guerre à la retraite qui souffre de la maladie d’Alzheimer. Ugo, le frère de Camille, souhaite le placer dans un établissement spécialisé car il n’a que peu d’atomes crochus avec ce géniteur qui s’est peu occupé de ses enfants. Alors que l’état d’Edoardo se dégrade, Camille tient absolument à prouver à son frère qu’elle a encore le contrôle de la situation. La jeune femme s’accroche alors à un dernier espoir : emmener leur père en Bosnie, théâtre de ses derniers reportages, pour lui permettre de renouer avec quelques ultimes souvenirs, mais également tenter de retrouver une certaine Camille, qui n'a rien à voir avec elle, et qu’il évoque inlassablement. En route, ils font la connaissance de Leo, un violoncelliste lui aussi en quête de réponses...