Jacques Verzier

This 1991 production by the Lyon National Opera presents a welcome opportunity to revel in a uniquely Gallic confection rarely seen outside France. It's also a chance to enjoy one of Offenbach's most inventive, melodic scores in which the starring musical role and many of the best tunes go to the orchestra, here conducted by Jean-Yves Ossonce. This is no accident: the operetta was originally created for a company of actors who relied on pastiche and the composer's help to get them through their "numbers". Not so these singers, of course. As Metella, the languorous courtesan who is responsible for the unravelling debacle, Helene Delavault is in meltingly good voice for her show-stopping rondeau, "A minuit sonnant commence la fete". Her sparring suitors Gardefeu (Jean-Francois Sivadier) and, particularly, Bobinet (Jacques Verzier) combine marvellous visual comedy with fluid singing and there is some dazzling vocal work from the supporting cast. It's a long piece, but hugely enjoyable.

Spectacle enregistré à l'Opéra National de Lyon.

Max, juif ukrainien, se sent à l'étroit dans son grand pays. Un beau jour, il quitte tout pour Paris, la ville de ses rêves. Il découvre la capitale et ses indigènes aux mœurs parfois féroces et compliquées. S'il atteint le capitalisme, il est loin d'avoir trouvé la femme de ses rêves. C'est alors qu'il rencontre une jeune femme dont la beauté et la froideur apparente sont autant d'appels au crime. Il ignore qu'il vient de rencontrer une créature qui assassine des hommes a longueur de journée, celle que les médias ont surnommée la «serial killeuse».

With a keen sensitivity to the demands and specificities of the American “musical”, and after the triumph of Sondheim’s Follies in 2015, the Opéra de Toulon once again embarked on a Broadway adventure with the French premiere of Bernstein’s Wonderful Town, and brought back for the occasion stage director Olivier Bénézech, a major connoisseur of the genre. A true declaration of love to the city of New-York, Wonderful Town tells the tale, with a boisterous rhythm and vast amounts of jazzy tunes, of two sisters from Ohio looking for success and glory in the big city. Lighter in tone than later works like West Side Story or Candide, its smart combination of the different musical traditions one could hear when wandering in the streets of New-York, its accomplished orchestral writing and colouring, and its vivid sense of comedy earned it no less than five Tony awards when it premiered in 1953.

Muriel est esthéticienne. Mais elle est avant tout fan, c’est comme un deuxième métier. Elle est la plus grande admiratrice de Vincent Lacroix, un chanteur de variétés au sommet de sa carrière. Comme toutes les grandes vedettes, Vincent garde ses distances avec ses fans. À moins qu’il ait un très très gros service à demander…

Marie-Thérèse Porchet est en colère ! François Rochaix ne lui a pas offert l'interprétation du spectacle d'ouverture d'Expo.02. Armée de sa seule mauvaise foi, l'artiste a décidé de calomnier la grande manifestation. Le coût de la mise en oeuvre, les thèmes choisis : tout y passe. Un représentant de l'exploitation d'Expo.02, Martin Martinot, incarné par le comédien Jacques Verzier, s'échine à empêcher Marie-Thérèse de parler. Il interrompt sans cesse sa conférence pour rétablir la vérité. Il faudra toute l'énergie de Nelly Wenger et de Darius Rochebin, invités exceptionnels de ce spectacle, pour remettre de l'ordre sur la scène. Malgré tout, Marie-Thérèse Porchet ne s'en est pas laissé compter et a fait une annonce : elle présentera son propre projet d'exposition nationale, «Gland.03».

Marie-Thérèse ne sait décidément plus comment joindre les deux bouts. Difficile de se faire une place parmi les humoristes toujours plus nombreux en Suisse ; au cirque c'est la crise, il n'y a même plus d'éléphants ! C'est donc en louant un grand appartement de huit pièces et en y faisant travailler des filles que cette chère Marie-Thérèse parvient finalement à mettre un peu de "beurre dans les nénuphars", toutefois en prétextant y dispenser des cours de rythmique ! En découvrant cette activité plus que douteuse, le propriétaire décide d'intervenir pour tenter de faire expulser tout ce beau monde de son appartement transformé en lupanar. Y parviendra-t-il ? Ne connaît-il pas suffisamment la réputation de Marie-Thérèse pour savoir qu'elle a souvent le dernier mot ? Cette revue immobilière est sponsorisée par Pilet & Renaud (régie immobilière) et écrite par Pierre Naftule et Thierry Meury.

Agences immobilières, gérances ou régies, elles ne sont pas toujours tendres avec leurs locataires. Mais lorsque la locataire s'appelle Marie-Thérèse Porchet, c'est elle qui devient un cauchemar pour son bailleur ! Surtout quand elle décide de louer un appartement à Genève pour en faire un lupanar à la mode. Mise au courant de ces activités douteuses, la régie décide de résilier son bail. Mais Marie-Thérèse ne se laisse pas faire.