Rob Besserer

Depuis sa sortie de prison, Ray Winkler a dû se contenter d'une succession de petits boulots. Mais ce malchanceux chronique, que ses compagnons de cellule appelaient par dérision « le Cerveau », voit toujours aussi grand. Il organise un casse avec l'aide de trois complices et de sa femme. Celle-ci a pour mission de faire des cookies dans la pizzeria désaffectée, située à côté d'une banque et transformée à l'occasion en Sunset Cookies. Mais le succès de la cuisine de l'épouse de Ray amène bien trop de monde pour que le cambriolage se fasse dans la sérénité.

Alors qu'il menait des recherches sur la cocaïne, Sigmund Freud découvre soudain le complexe d'Œdipe... Sa vie et plus particulièrement notre civilisation en sont transformées à jamais. Un conte imaginaire et fantastique.

La comédie rarement entendue de Rossini reçoit une brillante interprétation dans la première production du Met de Bartlett Sher, avec un trio des plus grandes stars du bel canto d'aujourd'hui dans les rôles principaux : Juan Diego Flórez est le comte Ory, un beau voyou qui trouve les femmes – toutes les femmes – irrésistibles. Diana Damrau chante la vertueuse comtesse Adèle et Joyce DiDonato incarne Isolier, la page du comte, elle aussi amoureuse de la comtesse. Les blagues, les malentendus et les déguisements sexistes – y compris les chevaliers déguisés en nonnes – abondent dans cette histoire hilarante de tromperie et de séduction. Maurizio Benini dirige.

Le public s’est déchaîné devant la production dynamique de Bartlett Sher, qui a trouvé des moyens nouveaux et surprenants de rapprocher plus que jamais la comédie effervescente de Rossini. Le casting stellaire a relevé le défi avec une énergie irrésistible et un vocalisme de bravoure. Juan Diego Flórez est le comte Almaviva, qui déclenche une colorature époustouflante tout en courtisant la fougueuse Rosina de Joyce DiDonato, avec l'aide de Peter Mattei dans le rôle du seul et unique Figaro, le barbier bien-aimé de Séville et l'homme de la ville.

Gluck’s gripping adaptation of the ancient Greek myth is vividly brought to life by a stellar cast in Stephen Wadsworth’s atmospheric production. Oreste is driven by the Furies to atone for killing his mother Clytemnestre. When he and his companion Pylade are shipwrecked on the island of Tauride, the king Thoas demands they be sacrificed. At the center of the drama is Iphigénie, Oreste’s long-lost sister. Forced to live among her enemies, she holds the lives of the captives in her hands—unaware that one of them is her brother. (Iphigénie en Tauride is performed in an adaptation of the 1779 Paris version edited by Gerhard Croll, by arrangement with Bärenreiter.)

A youthful cast brings Rossini’s immortal comedy to sparkling life, led by Christopher Maltman as Figaro, the resourceful barber and man-about-town of the title. The lovely Isabel Leonard is Rosina, the clever young woman at the center of the story, and Lawrence Brownlee sings Count Almaviva, the man who loves her and—with Figaro’s help—rescues her from the house of her elderly and smitten guardian, Bartolo, played by Maurizio Muraro. Paata Burchuladze is the bumbling music master Basilio, and rising conductor and bel canto specialist Michele Mariotti leads the Met’s musical forces in Bartlett Sher’s lively production.

“An exhilarating success, a brilliant presentation of Ligeti's commanding score and a disarming production.” This was the verdict of the New York Times after three sold-out performances of György Ligeti's opera “Le Grand Macabre”, with which Alan Gilbert, in collaboration with director Doug Fitch, brought this milestone of modern music theater to New York for the first time in May 2010. For the Hamburg International Music Festival - which focuses on Ligeti's music - the NDR Elbphilharmonie Orchestra is now bringing the highly acclaimed production to Hamburg in a version adapted for the Elbphilharmonie. “Le Grand Macabre” is a grotesque parable on the downfall of humanity, ‘an opera about the existential crisis in the modern world, about the search for the meaning of life - with all its nonsense and craziness’, states Alan Gilbert. It is no coincidence that this pitch-black musical theater spectacle is the most frequently performed contemporary opera in the world.

Adaptation of The Nutcracker by the Mark Morris Dance Group.