Patricia Racette

A woman spends a surreal evening unraveling on the phone with her recently lost lover.

L’éblouissante production d’Anthony Minghella de l’opéra de Puccini a ouvert la saison 2006-2007 du Met et a été vue par des milliers de personnes à travers le monde dans le cadre de la série Live in HD de la compagnie. Patricia Racette est Cio-Cio-San, la jeune geisha confiante et innocente du titre, qui tombe amoureuse du lieutenant de la marine américaine B. F. Pinkerton (Marcello Giordani), pour ensuite être abandonnée par lui. Maria Zifchak est sa fidèle servante Suzuki et Dwayne Croft est Sharpless, le sympathique consul américain qui fait tout ce qu'il peut mais est incapable d'éviter une tragédie.

Anthony Dean Griffey crée un portrait obsédant du pêcheur exclu qui lutte sous le fardeau d'une culpabilité présumée. Cette production effrayante du réalisateur John Doyle, lauréat d'un Tony Award, présente également la superbe Patricia Racette dans le rôle de la sympathique Ellen Orford. Le chœur du Met livre une performance vraiment époustouflante dans le rôle du village de pêcheurs, au jugement oppressif. Donald Runnicles est sur le podium du Met.

La nouvelle production du réalisateur David McVicar donne une nouvelle vie au programme double préféré de l'opéra, plaçant les deux opéras dans le même décor sicilien, séparés par deux générations. Marcelo Álvarez réalise le rare exploit de chanter les deux premiers rôles de ténor. Dans Cavalleria, il est Turiddu, le jeune homme qui abandonne Santuzza (Eva-Maria Westbroek) dans sa poursuite de Lola mariée (Ginger Costa-Jackson) - et finit par être tué en duel avec son mari, Alfio (George Gagnidze) . À Pagliacci, Álvarez est Canio, le chef d'une troupe itinérante de vaudeville. Patricia Racette chante Nedda, sa jeune épouse infidèle, dont les plans de fugue avec son amant sont déjoués par son admirateur éconduit Tonio (George Gagnidze) – avec des conséquences tout aussi tragiques. Le chef principal du Met Fabio Luisi est sur le podium.

The main plot of this rampant collection of scenes from the streets of the lower East Side of New York revolves around Frank and Anna Maurrant and their daughter Rose. A violent and tough character, Frank fails to see his wife’s growing despair due to his lack of affection. When he discovers her with her lover, he shots them both and goes to jail, leaving behind a heartbroken Rose who, after having experienced relentless harassment by two aggressive suitors, misses her one true chance at love. The opera ends by showing the streets of New York City moving on from these mundane events in total indifference.

Hammerstein and Kern’s Show Boat is a true classic of American musical theater - a tale of life on the Mississippi from the 1880s to the 1920s is both a poignant love story and a powerful reminder of the bitter legacy of racism. The exuberant production from the San Francisco Opera features songbook classics such as “Ol’ Man River” and “Can’t Help Lovin’ Dat Man”.

Luc Bondy’s dramatic production of Puccini’s operatic thriller stars Patricia Racette in the title role of the jealous diva, opposite Roberto Alagna as her lover, Cavaradossi, the painter whose political ideals lead them both into tragedy. George Gagnidze is Scarpia, the villainous chief of police who wants Tosca for himself. Riccardo Frizza leads the Met’s musical forces in this powerful verismo score.

The season kicks off with Boitos resplendent retelling of Goethes Faust, a monumental work of 'choral grandeur and melodic richness' (The New York Times) in one of the most impressive productions ever seen at the War Memorial Opera House. The cast includes Ramón Vargas, a tenor 'in ravishing voice' (Financial Times), as the philosopher who sells his soul to the Devil; the 'luminous, compelling' Patricia Racette (Washington Post) as the woman he desires; and, in the vividly menacing title role, the 'seductively malevolent' bass-baritone Ildar Abdrazakov, a 'fullbodied bass-baritone' renowned for his 'wonderfully evil portrayals' (The New York Times).

L’opéra rarement entendu de Bizet est revenu au Met pour la première fois depuis un siècle le soir du Nouvel An 2015, dans la nouvelle production acclamée de Penny Woolcock. La soprano vedette Diana Damrau chante Leïla, la prêtresse vierge au centre du récit. Matthew Polenzani et Mariusz Kwiecien sont Nadir et Zurga, rivaux pour l'amour de Leïla qui ont juré de renoncer à elle pour protéger leur amitié et qui chantent l'un des duos les plus célèbres de l'opéra, « Au fond du temple saint ». Nicolas Testé est le grand prêtre Nourabad et Gianandrea Noseda dirige la partition suprêmement romantique de Bizet.

L’artiste acclamé William Kentridge a réalisé et conçu cette première production visuellement éblouissante du Met de l’opéra satirique de Chostakovitch, adapté de la nouvelle classique de Nikolai Gogol. Le baryton Paulo Szot incarne Kovalyov, le malheureux bureaucrate dont le nez a mystérieusement disparu. Alexander Lewis et Andrey Popov co-vedette, et Pavel Smelkov dirige.

An all-star cast assembled for the Met’s first-ever performances of Rossini’s romantic retelling of Sir Walter Scott’s epic poem The Lady of the Lake. Joyce DiDonato is Elena, the title heroine, who is being pursued by not one, but two tenors—setting off sensational vocal fireworks. Juan Diego Flórez is King James V of Scotland, disguised as the humble Uberto, and John Osborn sings his political enemy, and rival in love, Rodrigo Di Dhu. Complicating matters is the fact that Elena herself loves Malcolm, a trouser role sung by mezzo-soprano Daniela Barcellona, and that she is the daughter of Duglas (Oren Gradus), another of the king’s political adversaries. Paul Curran’s atmospheric production is conducted by Michele Mariotti.

In the backwoods of Tennessee, a beautiful young woman is accused of indecent behavior after she is discovered bathing naked in a stream. Will the charismatic traveling preacher who sets his sights on her soul be her salvation, or her downfall? Carlisle Floyd’s all-American score, which beautifully evokes the work’s rural Appalachian setting, “is unabashedly neo-Romantic” (The New York Times). The radiant Patricia Racette sings the title role, with Brandon Jovanovich as her brother and Raymond Aceto as the hell-raising itinerant preacher. Conductor Karen Kamensek makes her San Francisco Opera debut in this eagerly awaited Company premiere directed by Michael Cavanagh.

La cruelle Princesse Turandot offre sa main au prince qui saura résoudre trois énigmes, les concourants défaits étant livrés au bourreau et mis à mort. Malgré le nombre immense de princes ayant perdu la vie dans ce concours, le Prince Calaf, fou amoureux de la Princesse, décide de tenter sa chance.