Krista West

Baltimore, au 19ème siècle. Isabel Porter, une jeune femme dont les parents viennent de décéder demande à être internée à l'institut Rosewood. Soumise à des expériences sciéntifiques qui vont modifier sa personnalité la jeune femme va devoir fuir avant qu'il ne soit trop tard.

Dans The Disaster Artist, James Franco transforme l’histoire vraie tragi-comique du cinéaste en devenir et célèbre outsider Tommy Wiseau – dont la contestabilité des méthodes n’avait d’égale que la sincérité de sa passion – en la célébration d’une quête presque impossible d’amitié, d’expression artistique et de rêves. Inspiré du best-seller révélateur de Greg Sestero sur la création de The Room, le nanar classique de Tommy (« le meilleur pire film jamais tourné »), The Disaster Artist est un rappel hilarant et nécessaire qu’il existe de nombreuses manières de devenir une légende – et qu’il n’y a aucune limite à ce qu’une personne peut faire quand elle n’a aucune idée de ce qu’elle fait.

Although she was crowned prom queen, something isn’t clicking for Sierra (Soleil Bouchereau) as she finds herself in the incessant gravitational pull of the aloof Henry (William Shewfelt). She spends her summer killing time doing whatever works while in and out of his orbit. Her closest friend Amy (Krista West) awakens to the toxicity of her romantic partner Ray (Zander Wylie) who is coincidentally her work superior at the local Donut Shop. While Ray earnestly attempts to conjure all of the tenderness he can, he watches the ever so gradual slipping away of Amy throughout a never-ending summer vacation.

A man who was dumped by his fiancee at the altar on his wedding day is reunited with her several years later at a book signing.

Cross, aidé par son équipe d’experts en armes, Riot, War, Shark, Lucia, Ranger, Saint, Blackfire et Nuke vont devoir livrer le plus grand combat de leur vie, contre Gunnar, un viking de mille ans, maudit de vivre pour toujours. L’équipe doit l’arrêter avant qu’il mette fin à l’humanité…