Jonathan Gold

Chris Burden s’est fait un nom dans les annales de l’histoire de l’art en réalisant des exploits physiques qui laisseront vos mains devant vos yeux. Il pousse les limites de son corps et de son esprit au non de l’art et non de la magie. Une fois, on lui a tiré dessus, puis on l’a électrocuté, enfermé dans un casier pendant cinq jours et crucifié à l’arrière d’une Volkswagen. Et ce n’est que le début de son évolution en tant qu’artiste. Burden a été amené à étendre ses curiosités artistiques en créant des installations et des sculptures, d’un volant auto-tournant, à une installation de lumière antique à l’énergie solaire à l’extérieur du LACMA à Los Angeles. Les réalisateurs plongent profondément dans la vie et le travail follement excentriques de Burden en montrant un mélange de ses performances des années 70, des vidéos personnelles, des enregistrements audio, des interviews franches, couplé à ses pensées compliquées documentées au fil des années.

As the unabashed cradle of Hollywood superficiality and smoggy urban sprawl, Los Angeles has long been condemned as a cultural wasteland. In the richly penetrating documentary odyssey City of Gold, Pulitzer Prize-winning food critic Jonathan Gold shows us another Los Angeles, where ethnic cooking is a kaleidoscopic portal to the mysteries of an unwieldy city and the soul of America.

After learning about pollution a group of creatures called Zwibble Dibbles, decide to throw a party for the Earth to raise awareness.