Luiz Mário Vicente

“Nobody Leaves Alive” by André Ristum is shot in beautiful but also distancing black and white. Looking at the Venice line-up, this seems to be a trend this year among the maestros of cinema. The film is inspired by true events that took place in the last century in the “Colonia” hospital in Brazil. Whoever didn’t fit the standards of society, or their family’s perception of it, was locked away, tortured, and killed. There were altogether more than 60,000 victims. Hope dies last, and some of the inmates don’t give up the fight. We’re reminded of film classics such as “One Flew Over the Cookoo’s Nest” or “Alcatraz”.

La région du Mato Grosso au Brésil, de nos jours. Après le suicide de l'un des siens, Nadio, chef d'une tribu Guarani-Kaiowa, décide de dresser un campement sur les terres des Blancs. Pour lui, comme pour le chaman, il s'agit de réparer une terrible injustice : récupérer les terres dont ils ont été spoliés autrefois... Malgré les menaces et les intimidations des propriétaires terriens, les Indiens décident de rester sur place pour reprendre leurs droits, coûte que coûte. Désormais, deux mondes se font face, sans jamais cesser de s'observer. Alors qu'une idylle se noue entre la fille d'un riche fermier et Osvaldo, le disciple du chaman, l'hostilité des Blancs monte d'un cran. L'affrontement semble inévitable...

Années 1950, Rio de Janeiro. Une femme au foyer qui croyait retrouver son mari découvre que celui-ci s'est enfui. Elle décide de rester pour ouvrir un club de bossa nova.