Earth. Wind. Fire. Water. Sacrifice. In Animal Kingdom a ritual carves a dimension that melds character, object, landscape and the very tactile makeup of the film itself into one mutating, symphonic mass of spell casting, storytelling, living and dying. An explosive account of cinema as witchcraft.
Un assortiment d'obsessions privées obscures, de conspirations et de perversions au bord de l'incohérence dans le contexte d'un vaste désastre cosmique dans le film le plus audacieux de Rouzbeh Rashidi à ce jour. Cet assaut sensoriel combine un hommage à l'humour subversif de Luis Buñuel et Joao Cesar Monteiro avec la portée visionnaire d'une épopée de science-fiction démente.