Roger Ruffin

A detective fiction mixed with an essay-documentary about Los Angeles, Hollywood and the film industry, Angel City is a satiric comedy with serious intentions.

Une parabole des faux pas de la vie dans le monde de la fin des années 1980 à New York, où le marché de l'art et la bourse ont tous deux connu un boom et ont engendré un assortiment de délires de "yuppie" qui persistent encore aujourd'hui. Anna, une actrice française qui étudie à New York, croise un courtier en bourse prospère devant un portrait de Vermeer au Metropolitan, Mark. Il s'ensuit une romance particulière de significations et de liens manqués, avec des apartés tangentiels au monde des arts et à la bourse en pleine effervescence, des conflits entre collègues et, peut-être, de l'amour. Enveloppés dans leurs mondes aveuglés, Anna et Mark détournent leur attention de leurs chances, laissant à la fin le visage nostalgique du portrait de Vermeer qui pose énigmatiquement des questions. All the Vermeers in New York est une comédie de mœurs qui, aussi doucement qu'un Vermeer, regarde sous la peau de ce temps et de ce lieu, et de ces personnages.

This film is a portrait of the passage of one year in the lives of some San Francisco friends, circa 1988 (before the dot.coming of the city), a slow marijuana hazed story which drifts like the fabled fog, encompassing the quirks and habits of a generation that made the city theirs, if only for a while. Very obliquely Rembrandt Laughing sketches the time and place, encompassing the AIDS epidemic, the casual sexual revolution, the debris of '68 lingering in the air. A quiet, very San Francisco comedy of life among a small group of friends. Rembrandt Laughing was improvised over the period of about a month by Jost and his friends, mostly acting non-professionals.

A bluesy lyrical romance of two ugly-ducklings who meet on the Golden Gate Bridge and after a brief and awkward courtship, live together with the usual problems of money and work, take flight to an illusory freedom on the road, and dances inexorably to a drab doom.