Bruno Carette

Une vieille dame s’éteint dans une grande demeure du Sud-Ouest. Son fils, Milou, qui a soixante ans et qui s'occupe de la propriété, convoque pour l'enterrement son frère Georges, sa belle-sœur Lily, sa nièce Claire, sa propre fille Camille et le reste de la famille. Mais nous sommes en mai 1968. Depuis deux semaines Paris est à feu et à sang...

Lors du festival de Cannes 1993, Odile Deray, attachée de presse, a bien du mal à faire parler de « Red is dead », un film d’horreur au budget ridicule. Mais un tueur, qui se cache parmi les journalistes, va supprimer des projectionnistes selon le même mode opératoire que l’assassin de fiction du film. Profitant de cette incroyable publicité, Odile envoie Simon, principal acteur du film, sur la Croisette…

Tout a commencé en 1987 avec "Objectif Nul". Comme les trois mousquetaires, les Nuls étaient alors quatre : Chantal Lauby, Alain Chabat, Bruno Carette et Dominique Farrugia. Ils feront le bonheur des spectateurs de Canal+ avec diverses émissions ("Le JTN", "JTN 595", "ABCD Nuls") jusqu'au 8 décembre 1989, lorsque Bruno Carette décédera subitement, à l'âge de 33 ans. Les trois rigolos survivants feront face, en se produisant au début des années 90 sur la même chaîne dans "Histoire (s) de la télévision" puis "Les Nuls, L'Émission", avant de s'envoler vers le cinéma, ensemble ou séparément. Concocté par les Nuls eux-mêmes, qui ont choisi trois heures des meilleures séquences de leurs shows TV, ce double-DVD truffé de surprises ravira tous les nostalgiques de l'époque où Canal + n'était pas une chaîne comme les autres.

Il y a 55 ans, le 1er octobre 1968, le premier spot de publicité de marque débarquait sur le petit écran des Français. Durant trois décennies, des milliers de petits films créatifs vont séduire et construire la mémoire collective. Spots kitchs ou cultes, humour, slogans, musiques, stars, gimmicks, grand spectacle ou sex-appeal : durant son âge d'or, comment la pub s'y prenait-elle pour convaincre ? Près de 400 clips publicitaires, véritables madeleines à déguster, sont ici réunis, racontés par Thierry Ardisson, pour revivre cette époque de conquête des esprits et des portefeuilles.

'Les Nuls l'Intégrule 2' c'est comme l'Intégrule 1 mais c'est pas pareil dedans : Encore plus de sketchs, plus de fausses pubs et plus d'inédits que même Les Nuls ne se rappellent plus les avoir tournés : James Blonde, Captain' Bigleux, Rambo 3, Buandery, Solcarnus, ...

À partir du 12 mars 1990, après une pause, Les Nuls lancent de nouvelles émissions sur Canal+ ; d'abord Histoire(s) de la télévision (du 12 mars au 14 juin 1990) puis Les Nuls L'émission (du 13 octobre 1990 au 29 juin 1991 pour la saison 1 et du 12 octobre 1991 au 28 mars 1992 pour la deuxième saison). Une sorte de Saturday Night Live à la française, l'émission est entièrement réalisée en direct, technique qui a pratiquement disparu de la télévision française à l'époque. Chaque émission comporte un invité qui participe à différents sketchs. On y retrouve également les fausses publicités, et une déclinaison du JTN, les Nuls : l'édition. L'émission est récompensée en 1991 par le 7 d'or de la meilleure émission en direct.

TVN 595 est une émission de télévision française figurant une chaine de télévision fictive créée par le groupe d'humoristes Les Nuls, et diffusée à l'occasion d'une soirée spéciale le samedi 26 novembre 1988[réf. souhaitée] sur la chaine Canal+.

Bellabre, un des capitaines du roi de France Charles VIII, est ridiculisé au cours d'un tournoi par un jeune inconnu, Pierre Terrail de Bayard, amoureux de la duchesse de Savoie. Les deux hommes partent combattre l'ennemi, Bellabre prenant Bayard sous sa coupe...

Un humour absurde porté par une bande d'amis - Chantal Lauby, Alain Chabat, Dominique Farrugia et Bruno Carette - qui a fait les belles années de Canal +. D'«Objectif Nul» à «Les Nuls l'émission», ce documentaire offre l'occasion de revoir sketches et parodies du célèbre quatuor comique, avec des témoignages de proches et de collaborateurs de l'époque. : Cyril Hanouna, Christophe Dechavanne, Pierre Lescure, Gérard Jugnot, Maurice Barthélémy, Jean-Marie Bigard, Philippe Gildas, François Rollin, Annie Lemoine, Alexandre Pesle, Michel Hazanavicius

A comme Alain (Chabat), B comme Bruno (Carette), C comme Chantal (Lauby) et D comme Dominique (Farrugia). En plateau et en public, les Nuls choisissent une lettre de l’alphabet qu’ils s’amusent à décliner en fausses définitions du dictionnaire, en vidéos absurdes, en illustrations décalées…, soit vingt-six possibilités de gags délirants.

« À des millions d’années burosse de la terre, Zeitoun, Panty, Syntaxerror, le mercenaire et le capitaine Lamar, dérivent à bord du Libérator. Leur objectif ? Nul ! » Cette introduction d’Alain Chabat est le démarrage de tous les épisodes du premier rendez-vous quotidien des Nuls. À l’intérieur du vaisseau spatial, la cohabitation d’une drôle d’équipe n’est pas aisée. Au poste de pilotage, on y croise le capitaine schizophrène Lamar (Alain Chabat), le cuisinier Zeitoun (Bruno Carette) et ses « moukraines à la glaviouse », mais également la jeune Panty (Chantal Lauby), seule femme à bord. L’androïde Syntaxerror (Alexandre Pottier) aide le capitaine, tandis que Le Mercenaire (Blats, alias Jean-Guy Ruff) est un condensé entre brute épaisse et légume sans cervelle. Au hasard de leurs aventures, parodies de JT, scènes en costumes et fausses publicités (Toniglandyl, l’ami déchiré...) composent un régime d’humour où le comique de l’absurde l’emporte toujours sur l’histoire.

L'action se situe, comme le titre l'indique, dans un palace ou grand hôtel. Des saynètes humoristiques sans queue ni tête s'enchaînent tout au long de l'émission dans différents lieux du palace (cuisine, réception, ascenseur, chambre etc.)

L'action se situe, comme le titre l'indique, dans un palace ou grand hôtel. Des saynètes humoristiques sans queue ni tête s'enchaînent tout au long de l'émission dans différents lieux du palace (cuisine, réception, ascenseur, chambre etc.)

L'action se situe, comme le titre l'indique, dans un palace ou grand hôtel. Des saynètes humoristiques sans queue ni tête s'enchaînent tout au long de l'émission dans différents lieux du palace (cuisine, réception, ascenseur, chambre etc.)

Faites une plongée dans le monde musical et culturel des années 1980, durant lesquelles l’émission « Champs-Élysées » a connu son âge d’or au fil de ses 300 numéros, avec chaque samedi soir plus de 10 millions de téléspectateurs et près de 3 000 artistes qui sont venus fouler son tapis rouge ! Conçu à partir de 600 heures d’archives dont certaines sont exclusives, ce documentaire raconte les dessous des moments inoubliables de l’émission en les replaçant dans le contexte de leur époque…

« À des millions d’années burosse de la terre, Zeitoun, Panty, Syntaxerror, le mercenaire et le capitaine Lamar, dérivent à bord du Libérator. Leur objectif ? Nul ! » Cette introduction d’Alain Chabat est le démarrage de tous les épisodes du premier rendez-vous quotidien des Nuls. À l’intérieur du vaisseau spatial, la cohabitation d’une drôle d’équipe n’est pas aisée. Au poste de pilotage, on y croise le capitaine schizophrène Lamar (Alain Chabat), le cuisinier Zeitoun (Bruno Carette) et ses « moukraines à la glaviouse », mais également la jeune Panty (Chantal Lauby), seule femme à bord. L’androïde Syntaxerror (Alexandre Pottier) aide le capitaine, tandis que Le Mercenaire (Blats, alias Jean-Guy Ruff) est un condensé entre brute épaisse et légume sans cervelle. Au hasard de leurs aventures, parodies de JT, scènes en costumes et fausses publicités (Toniglandyl, l’ami déchiré...) composent un régime d’humour où le comique de l’absurde l’emporte toujours sur l’histoire.

A comme Alain (Chabat), B comme Bruno (Carette), C comme Chantal (Lauby) et D comme Dominique (Farrugia). En plateau et en public, les Nuls choisissent une lettre de l’alphabet qu’ils s’amusent à décliner en fausses définitions du dictionnaire, en vidéos absurdes, en illustrations décalées…, soit vingt-six possibilités de gags délirants.