Cyrille Dubois

Passe Maître Subtil avec son jeune neveu Fortunio auquel il vient d'obtenir un poste chez cet éminent confrère, mais celui-ci ne pense qu'à rentrer dans son village. Landry, son cousin plus âgé, lui prodigue des conseils pour sa nouvelle carrière, mais Fortunio reste renfermé dans sa timidité et ses rêves d'amour.

An impressive masked figure, Trompe‑la‑mort reveals his true character through his impalpable latent energy and a plot abounding in tragic twists of fate. An ambivalent character, both regal in bearing and warmly protective, cruel and yet loving, rapacious and indomitable even in the face of madness, this ’Machiavelli among miscreants’ destined to become chief of police, uses his conquests to advance relentlessly in the pursuit of his aims whilst keeping his hand closely hidden. Guy Cassiers, working for the first time with the Paris Opera, portrays a three-tiered society where some rise and others fall.

LE 19 Septembre 1780, Marie-Antoinette était sur la scène de son petit théâtre en costume et chantait, ce soir là, le rôle de Colette, l'héroïne de cet opéra composé en 1753 par Jean-Jacques Rousseau.

This release from Erato consists of highlights from the live concert of April 15, 2017 in the city of Strasbourg in eastern France. A magnificent cast of singers, predominantly Francophone, assembled under the baton of John Nelson, an acknowledged master of Berlioz’s music who has conducted Les Troyens more frequently than anyone else over a period of more than 40 years; he made his name with the piece when he led performances at New York’s Metropolitan Opera in 1974 and enjoyed great acclaim for a production at the Frankfurt Opera shortly before the Strasbourg concerts.

The story concerns a pair of lovers, Acante and Céphise, who suffer at the hands of a wicked genie Oroès. They are saved by the good fairy Zirphile, who uses her magic powers, including the gift of telepathy (the sympathie of the title), to defeat Oroès.

La Flûte enchantée est une œuvre unique bien qu’elle s’inscrive dans la tradition du Singspiel, la version allemande de ce qu’en France on appelait l’opéra comique et dont la particularité est de mêler dialogues parlés et chant. Page tout aussi mystérieuse que fascinante, elle fut composée quelques semaines avant la mort du musicien. Le livret de Schikaneder, frère en maçonnerie de Mozart, s’est depuis longtemps prêté à toutes les interprétations : récit symbolique, conte allégorique, fable populaire, comédie féerique… Chacun y trouvera sa Pamina. Au-delà, reste la musique de Mozart, tout empreinte de légèreté virevoltante où le rire, l’émotion et la gravité alternent avec brio. Ce long chemin de l’enfance à l’âge adulte, des émois adolescents à l’amour ne peuvent que trouver résonances chez le cinéaste Cédric Klapisch.