Edward Byrne

Bosco Hogan plays Joyce's alter-ego, Stephen Daedelus, growing up in Ireland in the early part of the 20th century, and at odds with the strictures of his Catholic home and family. The film charts his search for knowledge and understanding, during a decline in his family's circumstances, that leads him to revelations on the nature of art, beauty, and politics. However, his personal renaissance makes him feel unwelcome in his own country, and forces him to make a choice between exile as artist or staying and facing personal defeat.

En 1941, un petit groupe d’hommes de l’I.R.A. dépose des bombes dans les stations du métro de Londres. Leur chef, Terence, a fini par prendre conscience de la stupidité et de l’inutilité de la violence, et il déserte. Son frère Matt vient alors d’Irlande pour prendre sa place. Après l’arrestation de deux des hommes, Matt, croyant que Terence * les trahissait, revient en Irlande et fait son rapport au chef de l’I.R.A., Shinto, et à une femme, partisane fanatique. Elle a aimé Terence mais maintenant elle reporte son amour sur son frère. Lorsqu’ils apprennent que deux prisonniers doivent venir à la prison de Belfast, Shinto projette de les faire échapper.

Un vétéran du Vietnam en colère quitte Detroit pour Belfast et rejoint l'IRA contre les Anglais, comme l'avait fait son grand-père.

Cal est un jeune catholique de dix-neuf ans qui vit en Irlande du Nord. Il a participé à des actions terroristes de l'IRA, notamment à celle où fut tué Morton, un policier. Il est très attiré par Marcella, la veuve de ce dernier. Très vite l'amitié fait place à l'amour. L'IRA contacte à nouveau Cal mais la police en est bientôt informée...

A young Irishman comes up with an unusual plan to get the money to emigrate to Tahiti. One of the Ealing comedies.

What happens to the saints and sinners of a small Irish village on the day the world is supposed to end.

'One of your Popes had a great thing to say once. He had been listening to some music by Palestrina with Palestrina himself. He said to him, " The law, my dear Palestrina, ought to employ your music to lead hardened criminals to repentance".'