Trois portraits de grand-mères juives qui racontent leurs souvenirs de la communauté juive de Pologne avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.
Plus qu’un making of dans lequel Akerman insiste sur le plaisir et la liberté du tournage, la cinéaste réalise ici un film inédit dans lequel elle s’interroge sur l'identité et s’arrête, avec sa mère, sur ses souvenirs, sur ce que c’est qu’être une femme et sur l’Histoire.
In this 2007 interview, an off-camera Chantal Akerman interviews her mother about her films. The producers of the interview originally intended to edit out Akerman’s questions but ultimately decided to keep them in to preserve the candor of the mother-daughter rapport.
Les débuts de Chantal Akerman derrière la caméra à ses 17 et 18 ans : quatre films tournés en Super 8 pendant l'été, et présentés pour rentrer en septembre 1967 à l'Institut national supérieur des arts du spectacle et des techniques de diffusion (INSAS, Bruxelles), où elle sera admise. [HENRI, La Cinémathèque française, 2024]