René Forval

Querelles de famille, discussions orageuses, pugilats, tout cela parce que Madame veuve Burdan, qui avait des enfants, a épousé Monsieur Villaret, qui avait des enfants, et qu'une petite fille est née de cette nouvelle union. Demi-frères, demi-soeurs se haïssent, et il faut toute la diplomatie de la tante Léonie et le sourire de la petite Jeannette pour ramener la paix à la maison.

Alors qu'elle trompe son ennui sur les bancs d'un cirque de passage, Marie-Jo Mouret, une jeune fille de bonne famille, remarque un séduisant briseur de chaînes. L'athlète, prénommé Marcus, l'impressionne si favorablement qu'elle décide illico de l'épouser. Si Marcus n'y voit pas d'inconvénient, les Mouret, par contre, refusent obstinément que leur sang se mêle à celui de la plèbe. Dans la famille, on ne se marie qu'entre cousins, prudence oblige. Les tourtereaux se trouvent tout de même une alliée : l'aïeule, âgée de 106 ans...

Un petit cambrioleur découvre, lors d'un méfait, un homme mourant qu'il aide à aller jusqu'à l'hôpital. Par coïncidence, il est soutenu par le fameux détective Nestor Burma à qui le défunt lègue son testament, une mystérieuse adresse : 120, rue de la Gare. Aidé par deux amis journalistes et une nouvelle secrétaire intrépide, Burma mène l'enquête et découvre rapidement qu'il n'est pas le seul.