Jack Brabham

A short making of feature about the 1966 John Frankenheimer movie Grande Prix

Au cours du Grand Prix de Monaco, le premier de la saison internationale automobile, le pilote américain Pete Aron provoque un accident dans lequel son coéquipier britannique, Scott Stoddard est grièvement blessé. Aron est renvoyé par le patron de l'écurie et se fait consoler par la femme de Scott, Pat, ancien mannequin. En même temps, Jean-Pierre Sarti, champion du monde en titre, se prépare à remporter une nouvelle victoire avant de se retirer définitivement de la compétition…

L'histoire de Bruce McLaren, le New-Zélandais qui a fondé l'équipe McLaren Motor Racing. Un homme qui a montré au monde qu'un homme d'humbles débuts pouvait prendre l'élite de la course automobile et gagner.

The story of the forgotten godfather of modern Formula 1—Jack Brabham—and a son's quest to defy the odds in the competitive world of international motor-sport once more.

1970 a été l'année de la transition dans les courses de Grand Prix; la saison qui a opposé la vieille garde à une nouvelle race fougueuse de coureurs à faire amener la Formule 1 dans la nouvelle décennie. Rien ne incarnait plus cette bataille que les voitures utilisées par les meilleurs prétendants : la Ferrari 312B de Jacky Ickx s'est appuyée sur la force brute pour compenser son style dépassé, tandis que la Lotus 72 de Jochen Rindt montre que l'aérodynamisme radical représentait une voie hardie et plus rapide. Jackie Stewart était le champion en titre, mais n'a rien tenu pour acquis. Lorsque divers pilotes ont remporté les 4 premières courses, Stewart et le monde entier savaient que le championnat était grand ouvert. Des batailles palpitantes s'ensuivirent jusqu'à ce que le succès et le drame se rejoignent en une collision mortelle : le 5 sept 1970, le leader du championnat, Jochen Rindt, mourut lors d'un entraînement à Monza. Il allait devenir le premier champion posthume du sport.