Boudjemaâ Karèche

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Premier Pas
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Premier Pas

Jan 02, 1980
Un couple moderne se cherche à trouver le bonheur conjugal dans un contexte où la société algérienne fait le "premier pas" vers l'émancipation féminine. Une femme deveint présidente d'une assemblée populaire communale. Trouvera-t-elle le bonheur ?
Drame
L'Homme Qui Regardait Les Fenêtres
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Un bureau de police à Alger quelque temps après l’indépendance. Monsieur Rachid, père de famille, cinquante ans environ, ancien fonctionnaire colonial muté à la bibliothèque annexe du cinéma et excédé par sa triste vie, face à un inspecteur qui le questionne, tente de s’expliquer : pourquoi a-t-il tué son ancien chef de service à l’issue d’une longue nuit d’errance ?
Drame
Les Aventures d'un Héros
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Un père de famille pauvre vivant dans le Sahara algérien, trompe sa tribu en mettant le signe du « héros attendu » sur son nouveau né. La tribu tout entière célèbre l'enfant élu et le prend en charge. Avec l'arrivée d'un éminent professeur censé lui enseigner les valeurs de la vie, les aventures de ce vrai faux héros débutent.
Comédie
Boudjemâa et la Maison Cinéma
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C’est un homme de 75 ans à moitié aveugle. Il fait 3000 pas chaque jour. Depuis 2004 il a pris une décision : il ne parlera plus de cinéma. Boudjemâa, notre mémoire vivante. Celle du cinéma algérien, du cinéma africain, du cinéma arabe, du cinéma tout court. La Cinémathèque d’Alger, Le « chef d’œuvre du cinéma algérien », Boudjemâa Karèche l’a dirigée pendant 34 ans. Alors pourquoi Boudjemâa ne parle-t-il plus de cinéma ? La réponse est à chercher du côté des circonstances qui ont provoqué son éviction de la Cinémathèque. Boudjemâa s’est tu. Le temps est venu pour lui de laisser la parole penser toute seule.
Documentaire
Zinet, Alger, le Bonheur
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Qui se souvient de Mohamed Zinet ? Aux yeux des spectateurs français qui reconnaissent son visage et sa frêle silhouette, il est simplement \"l'acteur arabe\" des films français des années 1970, d'Yves Boisset à Claude Lelouch. En Algérie, c'est un tout autre personnage… Enfant de la Casbah, il est l'auteur génial d'un film tourné dans les rues d'Alger en 1970, Tahya Ya Didou. Par cette œuvre unique, Zinet invente un nouveau cinéma, raconte une autre Histoire, montre les Algérois comme jamais auparavant. Dans les pas de son ainé, dans les ruelles de la Casbah ou sur le port d'Alger, Mohammed Latrèche retracera l'histoire de Tahya Ya Didou et de son réalisateur.
Documentaire
Mon Histoire N'est Pas Encore Écrite
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Jacqueline Gozlan - qui a quitté l'Algérie avec ses parents en 1961 - retrace avec nostalgie l’histoire de la Cinémathèque d’Alger, indissociable de celle de l’Indépendance du pays, à travers des extraits de films et de nombreux témoignages ; notamment celui de l’un de ses créateurs, Jean-Michel Arnold, mais aussi de cinéastes tel Merzak Allouache et de critiques tel Jean Douchet. Lieu de vie pour les Algérois, la Cinémathèque fut la plaque tournante des cinémas d’Afrique. Créée en 1965 par Ahmed Hocine, Mahieddine Moussaoui et Jean-Michel Arnold, la Cinémathèque profite de l’effervescence de l’Indépendance. La Cinémathèque devient un lieu de rencontres pour la société algéroise, les futurs cinéastes y trouvent leur meilleure école. En 1969, le Festival Panafricain d’Alger réunit tous les cinéastes d’Afrique, et à partir de 1970, Boudjemâa Kareche développe une collection de films arabes et africains.
Documentaire
Algérie(s)
8.5

Algérie(s)

Jan 01, 2002
Série documentaire en deux parties : 1. Un peuple sans voix (80'), 2. Une terre en deuil (78'). Partie 1 : Un peuple sans voix : octobre 88, la République algérienne vacille, le film remonte aux sources de cette tragédie et explique comment le face à face entre les islamistes et le pouvoir s’est enclenché. L’interruption des élections législatives de décembre 91, suivie peu de temps après par l’assassinat du président Boudiaf, en juin 92, plonge l’Algérie dans le chaos. Partie 2 : Une terre en deuil : l’engrenage de la violence qui mène aux massacres et les dessous économiques et géopolitiques de la guerre. Plus de 100 000 morts, un degré de barbarie inouïe, des massacres, en apparence incompréhensibles… Derrière la vitrine officielle du pouvoir et sa scène politique factice, se cache un pouvoir de l’ombre.
Documentaire