Christian Rist

Pour retrouver sa femme, Jeanne, Julien, obscur pianiste, n'hésite pas a se débarrasser d'un ami qu'il a manipulé. Il s'arrange pour que le nouveau mari de sa femme soit accusé du meurtre. Tout le monde et en particulier le commissaire chargé de l'enquête n'est pas dupe.

A Alger, en 1957, les paras font régner l'ordre. Henri Charlègue, le directeur d'un journal sympathisant avec le FLN, passe à la clandestinité. Il est arrêté avec son ami Maurice Oudinot. Tous deux subissent des tortures et ce dernier meurt au cours d'un interrogatoire. Tandis qu'il est derrière les barreaux, Charlègue écrit en cachette un récit sur les conditions de sa détention et réussit à le faire parvenir à son éditeur par l'intermédiaire de son avocat. À sa parution, le livre fait scandale. Charlègue est condamné à dix ans de prison pour atteinte à la sûreté de l'Etat.

A young man who seems lost, Nicolas, has an appointment with her sister Juliette. They are bound by a heavy childhood secret: their mother committed suicide when their father had instructed Nicolas to keep it. Since the father chased him and forbade Juliette to see him.

Every Tuesday, Mallarmé received guests, and people flocked to his house to hear him. Renoir, Gide, Claudel, Henri de Régnier, Barrès, Debussy and Valéry were among those who listened to these evenings. In their diaries or correspondence, the American poet Sadakitchi Hartman, Mallarmé's son-in-law Edmond Bonniot, and the French poet Jean de Tinan evoke the Master, standing in front of the tiled stove, recounting repartees, aphorisms, judgements, anecdotes, sentences and memories. A documentary mixing photos, objects, drawings, engravings and real shots attempts to restore the place, the small dining room, its furniture, and the ritual of the evenings with the chairs that are brought in, the punch that is offered, the tobacco that is smoked. Jean-Paul Fargier once again brings together these prestigious listeners in the setting he has reconstructed.