Gérard Dournel

De 1944 à 1974, l'évolution d'un couple établi en Normandie. Tandis que le mari grimpe les échelons de la hiérarchie sociale, les relations sentimentales avec sa femme se dégradent lentement. Mais, par la force des petits rituels du quotidien, la vie commune continue. Et débouche, au final, sur une redécouverte de l'autre...

Un riche industriel, M. Richard, décède brutalement dans sa villa de la région parisienne et ses toiles de maîtres disparaissent. Mis sur l'enquête, l'inspecteur Le Chat, aux méthodes peu traditionnelles, ne se satisfait pas de la piste évidente du vol. Le meurtrier serait-il Mme Richard, malgré son alibi imparable ? Ou bien plutôt la maîtresse de la victime, Manuelle ? Et que penser de l'agent d'assurances ?

We are in 1814, in Auvergne, in the dark fir forests of Livradois, near La Chaise Dieu. Gaspard and his beautiful cousin Anne-Marie see their love thwarted and their lives disrupted because of a treasure that an old uncle, who made his fortune in Guadeloupe, buried in the mountains of Auvergne.

Victor Vauthier, un voyou sympathique et ne se laissant pas désarçonner par les imprudences auxquelles le conduit sa mythomanie, sort de prison, à la grande tristesse de ses gardiens, qui s'étaient attachés à lui, durant les trois mois de son incarcération. Il recommence immédiatement la série de ses vols et escroqueries. Cependant, il doit composer avec Marie-Charlotte Pontalec, déléguée permanente d'assistance post-pénale nommée par le juge d'application des peines. Victor et Marie-Charlotte ne tardent pas à éprouver une attirance réciproque, ce qui n'empêche pas Victor de chercher, à l'instigation de son oncle Camille, son père spirituel, à profiter de sa proximité avec Marie-Charlotte pour dérober un triptyque signé du Greco, après l'avoir vu au musée de Senlis, dont le père de Marie-Charlotte est conservateur. Mais la jeune femme finira par découvrir la vérité et le plus filou ne sera pas forcément celui auquel on pense de prime abord.

Judith Therpauve, qui fut « Reine » au temps de la Résistance, est sollicitée par ses anciens amis, copropriétaires comme elle du journal régional La Libre République, pour prendre la direction du quotidien, qui va mal. Elle s'aperçoit vite que la mauvaise santé financière de son journal est orchestrée par un homme d'affaires qui souhaite le racheter à bas prix. Judith parvient à faire remonter les ventes, mais les manœuvres déloyales se succèdent

Having lost his physician's license, Dr. Louis Krantz joins a gang of hoods to treat their wounded. When his son falls ill and needs expensive medical help, Louis decides to participate in a hold-up with the gang. Unfortunately for them, the robbery goes wrong. The gang boss, persuaded that Louis has betrayed them, decides to gun him down.

A French film about a famous American trial - that of Julius and Ethel Rosenberg, who became the first people in American history to receive the death penalty for espionage.

Une histoire mystérieuse, des formules ésotériques prononcées par des suppliants cherchant à dominer le monde.

Deux truands, Jacques et Simon, sont poursuivis par le policier Bruno. Dans leurs mésaventures, ils rencontrent Lola, une entraineuse. La guerre éclate, nos trois compères optent pour la résistance, puis reviennent à leur premières activités.

Blanche fut violée dans son adolescence à l’âge de quatorze ans par un domestique, un vacher prénommé Baptiste. Sa famille, soucieuse de dissimuler la honte que ce scandale a jetée sur sa réputation, enferme la jeune fille dans son manoir, pensant que quatre murs suffisent à faire taire les quolibets. Un jour, Blanche, que tout le pays surnomme « Madame Baptiste », tente de se suicider, rongée par le douloureux souvenir qu’elle porte en elle. Un homme la sauve et celui-ci, charmé par celle qui lui doit maintenant la vie, la demande en mariage, bravant ainsi les barrières morales campées par l’opinion publique. La vie semble désormais heureuse pour Blanche, mais un jour, au comice agricole, l'insulte repart : « Madame Baptiste ! »…

Au début du XIVe siècle, Philippe IV le Bel règne sur la France en maître absolu. Trois de ses fils assurent sa descendance et ont été mariés avec les familles de Bourgogne et d'Arthois pour l'accroissement du royaume de France, telle est l'animation du roi pour qui aucune autre cause ne peut supplanter la raison d'État. Isabelle, sa fille aînée unique est sacrifiée, mariée au roi Édouard II d'Angleterre pour la paix entre les deux royaumes. Sous son règne, la France est grande mais les Français ne sont pas tous heureux. Un seul pouvoir ose lui tenir tête : l'ordre des chevaliers du Temple. Et c'est à ce même ordre que le roi doit d'importantes créances du royaume. Avec la malédiction sur treize générations lancée par Jacques de Molay sur son bûcher commence une période sombre, faite de sang et de fureur, de morts et de larmes, celle des rois maudits...

"La Famille Bargeot" est une série humoristique produite par Stéphane Collaro et diffusée sur TF1. La série suit les aventures de la famille Bargeot, une famille française typique des années 80, et est connue pour son humour satirique et ses situations comiques.

C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française. Fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront de découvrir le coupable. Chaque épisode se déroule dans un milieu professionnel ou social étranger à Bourrel .À ses débuts, la série était une émission-jeu tournée en studio, et diffusée en direct. Deux téléspectateurs assistaient au tournage et devaientle coupable de l'intrigue, au moment du célèbre : « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! » de l'inspecteur Bourrel. Chacun des deux candidats avait le droit de se faire repasser deux scènes de son choix, que revoyaient aussi les téléspectateurs. Les magnétoscopes n'existant pas, et le télécinéma représentant une dépense jugée excessive, les acteurs rejouaient aussi précisément que possible les scènes redemandées.Ce concept original fut abandonné après quelques épisodes.

C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française. Fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront de découvrir le coupable. Chaque épisode se déroule dans un milieu professionnel ou social étranger à Bourrel .À ses débuts, la série était une émission-jeu tournée en studio, et diffusée en direct. Deux téléspectateurs assistaient au tournage et devaientle coupable de l'intrigue, au moment du célèbre : « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! » de l'inspecteur Bourrel. Chacun des deux candidats avait le droit de se faire repasser deux scènes de son choix, que revoyaient aussi les téléspectateurs. Les magnétoscopes n'existant pas, et le télécinéma représentant une dépense jugée excessive, les acteurs rejouaient aussi précisément que possible les scènes redemandées.Ce concept original fut abandonné après quelques épisodes.

C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française. Fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront de découvrir le coupable. Chaque épisode se déroule dans un milieu professionnel ou social étranger à Bourrel .À ses débuts, la série était une émission-jeu tournée en studio, et diffusée en direct. Deux téléspectateurs assistaient au tournage et devaientle coupable de l'intrigue, au moment du célèbre : « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! » de l'inspecteur Bourrel. Chacun des deux candidats avait le droit de se faire repasser deux scènes de son choix, que revoyaient aussi les téléspectateurs. Les magnétoscopes n'existant pas, et le télécinéma représentant une dépense jugée excessive, les acteurs rejouaient aussi précisément que possible les scènes redemandées.Ce concept original fut abandonné après quelques épisodes.

C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française. Fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront de découvrir le coupable. Chaque épisode se déroule dans un milieu professionnel ou social étranger à Bourrel .À ses débuts, la série était une émission-jeu tournée en studio, et diffusée en direct. Deux téléspectateurs assistaient au tournage et devaientle coupable de l'intrigue, au moment du célèbre : « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! » de l'inspecteur Bourrel. Chacun des deux candidats avait le droit de se faire repasser deux scènes de son choix, que revoyaient aussi les téléspectateurs. Les magnétoscopes n'existant pas, et le télécinéma représentant une dépense jugée excessive, les acteurs rejouaient aussi précisément que possible les scènes redemandées.Ce concept original fut abandonné après quelques épisodes.

C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française. Fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront de découvrir le coupable. Chaque épisode se déroule dans un milieu professionnel ou social étranger à Bourrel .À ses débuts, la série était une émission-jeu tournée en studio, et diffusée en direct. Deux téléspectateurs assistaient au tournage et devaientle coupable de l'intrigue, au moment du célèbre : « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! » de l'inspecteur Bourrel. Chacun des deux candidats avait le droit de se faire repasser deux scènes de son choix, que revoyaient aussi les téléspectateurs. Les magnétoscopes n'existant pas, et le télécinéma représentant une dépense jugée excessive, les acteurs rejouaient aussi précisément que possible les scènes redemandées.Ce concept original fut abandonné après quelques épisodes.

Inspirée des mémoires de Eugène-François Vidocq, Vidocq est une série télévisée française en treize épisodes de 25 minutes, en noir et blanc, créée par Georges Neveux (scénariste-dialoguiste) et Marcel Bluwal.