Jean-Louis Fournier

La Noiraude ne va pas bien. La Noiraude ne va jamais bien. Elle voudrait être une biche car il n’y a jamais de vaches dans les contes de fées. Son lait à un drôle de goût : un goût de vache. En passant devant l’école de musique elle a entendu qu’une blanche vaut deux noires : n’est-elle qu’une moitié de vache ? Devant chacune de ses peurs, elle appelle son vétérinaire. Alors son docteur lui explique, la rassure. Les vaches à la différence des biches ne sont pas victimes des chasseurs. Son lait aurait meilleur goût si elle mangeait davantage de verdure. En musique, une blanche dure deux fois plus longtemps qu’une noire, mais cela n’a rien à voir avec sa propre longévité. De toute façon cette fois c’est décidé : la Noiraude part s’installer en Inde. Là au moins les vaches sont respectées. Ce sont des animaux sacrés. Et un petit voyage en avion aura l’avantage de lui faire quitter pour une fois le plancher des vaches.

Été 1885, l’abbé Bérenger Saunière, amer et démuni, arrive à Rennes-le-Château, au Sud de Carcassonne dans l'Aude. Sa nouvelle paroisse lui a été désignée par Monseigneur Billard au printemps dernier. L'église, à la dévotion de la Sainte Marie Madeleine, se dresse sur l'emplacement d'un ancien palais fortifié des Wissigoths. Un inconnu lui révèle bientôt qu'il est investi par un ordre mystérieux, la " maison de France " de Monseigneur Guillaume, d'une mission secrère : la quête du fabuleux trésor des Wissigoths. Expert en connaissances occultes, manipulé par les frères du prieuré de Sion, fasciné par " l'or du diable ". Bérenger joue avec le feu et son ambition et de ses passions. Quelques années plus tard, il entreprend des travaux considérables, rebâtit l’église, achète des terrains, construit une villa et une tour médiévale. Il mène grand train, voyage, fréquente le monde politique et les artistes.En 1917, il meurt subitement sans avoir livré le secret de sa fabuleuse fortune.

Série de sketchs regroupés en rubriques, évoluant dans un univers kitch et décalé, satire de la télévision et de la société: reportages, nouvelles brèves, télé-achats, documentaires ou petites fictions présentant des situations absurdes.

Été 1885, l’abbé Bérenger Saunière, amer et démuni, arrive à Rennes-le-Château, au Sud de Carcassonne dans l'Aude. Sa nouvelle paroisse lui a été désignée par Monseigneur Billard au printemps dernier. L'église, à la dévotion de la Sainte Marie Madeleine, se dresse sur l'emplacement d'un ancien palais fortifié des Wissigoths. Un inconnu lui révèle bientôt qu'il est investi par un ordre mystérieux, la " maison de France " de Monseigneur Guillaume, d'une mission secrère : la quête du fabuleux trésor des Wissigoths. Expert en connaissances occultes, manipulé par les frères du prieuré de Sion, fasciné par " l'or du diable ". Bérenger joue avec le feu et son ambition et de ses passions. Quelques années plus tard, il entreprend des travaux considérables, rebâtit l’église, achète des terrains, construit une villa et une tour médiévale. Il mène grand train, voyage, fréquente le monde politique et les artistes.En 1917, il meurt subitement sans avoir livré le secret de sa fabuleuse fortune.

De 1968 à 1980, en 102 émissions, le réalisateur Roger Sciandra a rencontré de nombreux artistes dans leur intimité. Qu'ils furent comédiens, chanteurs, musiciens, humoristes, leurs vies privées et vies publiques étaient mêlées sur le fauteuil des confidences pour Gilbert Bécaud, Charles Aznavour, Francis Blanche, Serge Lama, Joe Dassin, Serge Reggiani, Pierre Mondy, Thierry Le Luron, Pauline Carton, Bernard Haller, Silvia Montfort, Claude Piéplu, Yvette Horner, Daniel Prévost, Coluche, Carlos, Jean Amadou, Jean Le Poulain, Eddy Mitchell, Jacques Fabbri, Francis Perrin, Johnny Halliday, Maria Pacôme, pour n'en citer que quelques uns. Production et diffusion télévisée par l'ORTF du 16 décembre 1968 au 28 décembre 1974, puis sur TF1 du 09 janvier 1975 au 05 septembre 1980.

La Noiraude ne va pas bien. La Noiraude ne va jamais bien. Elle voudrait être une biche car il n’y a jamais de vaches dans les contes de fées. Son lait à un drôle de goût : un goût de vache. En passant devant l’école de musique elle a entendu qu’une blanche vaut deux noires : n’est-elle qu’une moitié de vache ? Devant chacune de ses peurs, elle appelle son vétérinaire. Alors son docteur lui explique, la rassure. Les vaches à la différence des biches ne sont pas victimes des chasseurs. Son lait aurait meilleur goût si elle mangeait davantage de verdure. En musique, une blanche dure deux fois plus longtemps qu’une noire, mais cela n’a rien à voir avec sa propre longévité. De toute façon cette fois c’est décidé : la Noiraude part s’installer en Inde. Là au moins les vaches sont respectées. Ce sont des animaux sacrés. Et un petit voyage en avion aura l’avantage de lui faire quitter pour une fois le plancher des vaches.

La Noiraude ne va pas bien. La Noiraude ne va jamais bien. Elle voudrait être une biche car il n’y a jamais de vaches dans les contes de fées. Son lait à un drôle de goût : un goût de vache. En passant devant l’école de musique elle a entendu qu’une blanche vaut deux noires : n’est-elle qu’une moitié de vache ? Devant chacune de ses peurs, elle appelle son vétérinaire. Alors son docteur lui explique, la rassure. Les vaches à la différence des biches ne sont pas victimes des chasseurs. Son lait aurait meilleur goût si elle mangeait davantage de verdure. En musique, une blanche dure deux fois plus longtemps qu’une noire, mais cela n’a rien à voir avec sa propre longévité. De toute façon cette fois c’est décidé : la Noiraude part s’installer en Inde. Là au moins les vaches sont respectées. Ce sont des animaux sacrés. Et un petit voyage en avion aura l’avantage de lui faire quitter pour une fois le plancher des vaches.

Été 1885, l’abbé Bérenger Saunière, amer et démuni, arrive à Rennes-le-Château, au Sud de Carcassonne dans l'Aude. Sa nouvelle paroisse lui a été désignée par Monseigneur Billard au printemps dernier. L'église, à la dévotion de la Sainte Marie Madeleine, se dresse sur l'emplacement d'un ancien palais fortifié des Wissigoths. Un inconnu lui révèle bientôt qu'il est investi par un ordre mystérieux, la " maison de France " de Monseigneur Guillaume, d'une mission secrère : la quête du fabuleux trésor des Wissigoths. Expert en connaissances occultes, manipulé par les frères du prieuré de Sion, fasciné par " l'or du diable ". Bérenger joue avec le feu et son ambition et de ses passions. Quelques années plus tard, il entreprend des travaux considérables, rebâtit l’église, achète des terrains, construit une villa et une tour médiévale. Il mène grand train, voyage, fréquente le monde politique et les artistes.En 1917, il meurt subitement sans avoir livré le secret de sa fabuleuse fortune.